Les
trois jeunes hommes étaient des électroniciens qui habitaient Detroit.
Ils
passaient leurs week-ends en prenant leurs engins pour rouler le plus loin
possible et à toute vitesse.
Ils
avaient l’air effrayant à cause de leur apparition, on ne peut plus bruyante
(que l’auteur compare à un cataclysme de bruit), et puis à cause de leurs
habits en cuir noir avec de gros dessins, ainsi que leurs yeux froids sur des
visages bardés de casques.
La
passion qui a rapproché les personnages de ce texte est la musique.
La
narratrice voit leurs disques comme des livres car ils regorgent d’histoires,
de messages, de rêves et d’aventures.
La
musique réussit à détruire les barrières de la langue, de la culture et de la
nationalité parce qu’elle rapproche de parfaits inconnus et les amènent Ã
discuter ensemble, tout d’abord sur un certain morceau de musique qui plaît,
peut-être, et puis sur d’autres passions.
Dans
le court épisode au camping, il a suffi de prendre place autour du feu et de
commencer timidement à jouer au banjo et à la guitare, pour que les
motocyclistes sourient entre eux, ce qui a finalement détendu l’atmosphère. Ça
leur a donné l’occasion de faire connaissance un peu, et même si la narratrice
ne se sait plus leurs noms, ce souvenir a survécu à de longues années.
Oui,
j’écoute assez souvent de la musique et le genre musical que j’aime est le …(te las sa completezi).
Oui,
j’ai un groupe / un chanteur préféré. Il s’agit de …
(si aici la fel).